Boissons froides
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Règle : La consommation d’eau en bouteille doit être questionnée.
L’empreinte de l’eau en bouteille est très nettement supérieure à celle de l’eau du robinet (d’un facteur 100 voire 1000) sans pour autant être meilleure qualitativement. Il est donc nécessaire que les individus puissent connaître de tels ordres de grandeur. Qui plus est, la consommation d’eau en bouteille induit une quantité significative de déchets plastiques.
L’estimation de l’empreinte associée à la consommation d’eau en bouteille peut être faite de la manière suivante :
en s’appuyant sur les données Agribalyse pour l’eau en bouteille
Conseil : Afin de coller aux modes de consommation de l’eau en bouteille, il est conseillé de proposer, en plus des réponses “oui” et “non”, une réponse “parfois” représentant une consommation épisodique d’eau en bouteille, fixée à 10 % de la consommation d’eau totale d’un individu.
Conseil : Il est conseillé de questionner la consommation de boissons sucrées (type jus, soda et sirop) dans une optique pédagogique d’information de l’empreinte des différentes boissons.
L’estimation de l’empreinte associée à la consommation de boissons sucrées peut être faite de la manière suivante :
en s’appuyant sur les données Agribalyse ainsi que sur un FE moyennant l’empreinte des boissons type sodas et jus (que leur consommation soit questionnée ou intégrée aux régimes alimentaires).
Conseil : Pour les approches questionnant la consommation de boissons sucrées, il est conseillé de questionner la consommation selon une temporalité hebdomadaire (que ce soit en litres ou nombre de verres par semaine).
Conseil : Il est conseillé de questionner la consommation de boissons alcoolisées (type bière et vin) dans une optique pédagogique d’information de l’empreinte des différentes boissons.
L’estimation de l’empreinte associée à la consommation de boissons alcoolisées peut être faite de la manière suivante :
en s’appuyant sur les données Agribalyse ainsi que sur un FE moyennant l’empreinte des boissons type bière, vin et cocktail (que leur consommation soit questionnée ou intégrée aux régimes alimentaires).
Conseil : Pour les approches questionnant la consommation de boissons alcoolisées, il est conseillé de questionner la consommation selon une temporalité hebdomadaire (que ce soit en litre ou nombre de verres par semaine).