🐕Animaux de compagnie

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Pourquoi ?

Poissons et oiseaux de basse-cour exclus, les chiens et chats représentent la grande majorité (presque 2/3) des animaux de compagnie en France.

Conseils d’application

L’estimation de l’empreinte associée aux animaux de compagnie doit se faire selon les paramètres suivants :

  • le type (chien/chat) et le gabarit de l’animal afin d’attribuer une quantité plus ou moins importantes de ration alimentaire

Conseil : Pour le gabarit, il est conseillé d’en distinguer 3 : petit, moyen et gros notamment pour les chiens.

  • l’impact GES de la ration alimentaire

Conseil : Pour l’empreinte de la ration alimentaire, il est conseillé de se baser sur l’étude suivante.

  • la quantité de ration alimentaire par type d’animal

Conseil : Pour la quantité de ration alimentaire, il est conseillé de se baser sur des études et/ou revues spécialisées traitant du sujet.

Ainsi, Nos Gestes Climat s’appuie sur un besoin énergétique journalier (exprimé en kcal/jour) déterminé selon les ratios de poids/activité d’animaux “moyennement actif”. L’apport énergétique de la nourriture est estimé à 461 kcal/100 g et repris d'une source académique.

Tandis que MyCO2 utilise cette source pour la quantité de rations alimentaires des chiens et cette source pour celle des chats.

  • un forfait d’émissions par animal lié aux activités vétérinaires

Conseil : Pour l’empreinte des activités vétérinaires, il convient d’utiliser les données de la macroéconomie et plus spécifiquement la sous-branche d’activité M75 : Activités vétérinaires.

  • pour les chats en prenant également en compte l’empreinte de la litière

Conseil : Pour l’empreinte de la litière des chats, il est conseillé de s’appuyer sur des revues spécialisées pour déterminer la quantité utilisée par an et faute de FE adapté dans la Base Empreinte d’approximer la litière à partir du FE “Granulat, grave/ciment”.

Nos Gestes Climat considère 33 kg/an de litière.

Avis du GT

L’étude proposée pour estimer l’empreinte de la nourriture animale considère que cette nourriture est constituée de sous produits comestibles (non consommés par les hommes) et de sous produits non comestibles. Or, il n’existe pas de FE pour ces derniers et l’étude cherche à approcher l'empreinte de ces sous produits via un prorata par prix de produit.

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